E3 2018: Microsoft, pluie d’annonces et vogue la galère
Avouons-le, ce qui nous fait frémir pendant l’E3 ce ne sont pas les conférences elles-mêmes, mais plutôt le fait de se retrouver, entre potes, les yeux rivés sur nos écrans, et c’est à celui qui trouvera en premier l’indice permettant d’identifier le jeu dont il est question dans l’annonce. Ou à celui qui annoncera la plus grande ânerie improbable. « Hé ce serait pas un nouveau Mirror’s edge, mais genre en bien?! ». Hier soir, avec la grand-messe de Micosoft, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on s’est fait plaisir.
E3 2018: un mEA culpa un peu amer.
Je sors tout juste d’une soirée entre amis qui s’est terminée en débat plus que musclé sur le manque d’esprit critique du public actuel. En l’occurrence, on parlait de cinéma. N’ayant pas pu assister à la conférence EA en direct, je lance un replay en arrivant chez moi. « What could possibly go wrong? », comme ils disent.
Envie de découvrir Nintendo Labo en avant-première?
Dans la nuit tempétueuse de hier, Nintendo a annoncé une nouvelle manière de jouer avec la Switch. Est-ce pour ça qu’il neigeait?
CoDumentary, un bofumentaire sur la saga Call of Duty
Cette semaine est sorti un reportage intitulé CoDumentary, une réalisation britannique, non approuvée, ni validée par Activision, qui a pour sujet l’une des sagas les plus lucratives de l’histoire du jeu vidéo: Call of Duty. Quand un produit culturel génère autant de battage médiatique chaque année et brasses de si grandes masses d’argent, on était en droit d’attendre du lourd, de l’interpellant ou même du croustillant. On a attendu.
Gamescom 2017: The Evil Within 2
M. Plouf et moi-même avons trois choses en commun: un amour immodéré pour les muffins, un flair hors du commun pour détecter des buissons dans PUBG et une affection toute particulière pour les jeux qui font peur. Nous nous sommes donc, tout naturellement, rendu au stand Bethesda pour y rencontre la suite de The Evil Within, qui nous avait laissé autant de bons souvenirs le jour, que de cauchemars la nuit. Place à une heure d’exploration glauque au possible.
Gamescom 2017: Paradox
Qui suis-je ? Situé hors de la buisness area, je me retrouve dispersé dans une petite dizaine de containers empilés. Difficile d’accès, il est nécessaire de compter une demi-heure de plus que d’habitude pour me rejoindre. Je présente majoritairement des DLC cette année, pourtant ma boîte est connue pour soigner ses mises à jour. Ma clim tombe en panne alors que le soleil tape fort, juste avant de se relancer en mode polaire. Je suis ? Je suis ? Je suis… le stand Paradox !