À force de tester des jeux de chez Paradox Interactive et des DLCs de ces mêmes jeux, j’ai gentiment fait le tour des introductions originales. On va donc faire au plus simple. Voici donc mon avis sur Campus, le nouveau DLC du très bon Cities Skylines.
Et ça va être court. Mais pas pour vous. Car pour pouvoir vous faire une opinion, il va vous falloir lire mon test du précédent DLC essayé : Parklife.
Voilà. C’est bon, vous êtes à jour? Je peux commencer?
Campus permet d’ajouter des universités de type « américain » dans votre ville. Trois sortes de campus sont disponibles : école d’arts, école de commerces et Université (avec un grand U). Et on y retrouve tout le folklore états-unien, avec pêle-mêle : stade de 30’000 places pour sport universitaire, fête de fin d’année avec lancer de chapeau, fraternité & sororité bullshits, etc. Autant vous dire que, d’emblée, ça vend pas de rêve au gauchiste antiaméricain primaire qu’est votre serviteur…
Et je dois pas être le seul. « Les mecs, pondez-nous ‘ouar un truc pour le marché nord-américain ». Les développeurs ne se sont donc pas foulé niveau mécanique de fonctionnement. En gros, construire (et développer) une université (car c’est de cela qu’il s’agit), cela se fait presque exactement comme un parc dans Parklife. Ils ont étoffé la chose de quelques détails, mais rien d’extraordinaire.
Et on se retrouve à gérer sa création comme un mini jeu peu intéressant, à l’intérieur de ce formidable city-builder. C’est pas horrible, mais y a franchement pas de quoi sauter au plafond.
Bref, à n’acheter qu’en cas de manque et UNIQUEMENT en solde.
Et sinon, remarque personnelle pour Founet, notre grand chef bien aimé. Entre Parklife et Campus, ils ont sorti un autre DLC : Industies. Il est plutôt chouette (surtout si on le compare avec les deux autres boulets que tu m’as fait tester). Avoue, t’as fait exprès hein?
5 bizutages/10