Professeur Layton et le Masque des miracles (3DS)

Le professeur Layton est de retour, pour la 5e fois et cette fois il est… en colère?… non en 3D.

Avec la sortie de ce nouvel opus, Nintendo ne prends pas beaucoup de risque, le succès est assuré et je ne pense pas que l’on va s’en plaindre!

Nous nous retrouvons très vite en terrain connu: notre duo de cerveaux sur pattes, Layton et son assistant Luke, doivent élucider le mystère qui entoure la ville de Dorémont et son persécuteur, le porteur du Masque du chaos. Pour avancer dans cette quête, il leurs faudra explorer la ville et parler avec ses habitants qui ont tous comme passion la résolution d’énigmes. Celles-sont plutôt variées, allant du très facile à l’arrachage de cheveux et c’est en interagissant sur l’écran tactile que l’on proposera nos réponses. Cette fonction nous permet également de prendre des notes; très utile!

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L’ambiance graphique est fidèle à sa réputation et le passage à la 3D amène un réel plus dans l’immersion. Un soin tout particulier a été apporter à la profondeur de champ, ce qui en fait sans hésitation un des titres les plus beaux du catalogue 3DS.

L’histoire et sa narration, n’évitent pas l’écueil du tout public et sont parfois un peu naïves, mais on acceptera volontiers de s’y laisser happer pour découvrir, entre autre, la jeunesse du professeur qui n’avait alors encore rien à cirer de l’archéologie… Les petits jeux servant de quêtes secondaires sont divertissants et permettent de varier agréablement le gameplay en cours de partie.

Je précise que je n’avais joué qu’aux deux premiers épisodes. Quelqu’un qui aurait suivies toutes les précédentes aventures pourrait être blasé par une impression de routine. Mais sans cela, il s’agit clairement d’un tout bon titre de cette fin d’année. Y a des sapins qui risquent bien d’en voir passer à leurs pieds…

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Note: 9,5 croix de Coronado sur 10

Author: Founet

A ne pas confondre avec le village vaudois, est à peine plus jeune qu’une Famicom. Vouant un culte à George, il découvrit son amour du jeu vidéo et de la techno allemande pendant les grandes années de Lucas Arts. De ses nombreuses heures passées à cliquer lui vient son humour absurde et sa cleptomanie. Frappé d’une mystérieuse malédiction, les machines semblent se rebeller lorsqu’il les manipule ou fait mine de les regarder. Founet ne roule jamais en-dessous de 88 miles à l’heure et rêve de maîtriser la télékinésie grâce à la Force. En attendant de passer maître Jedi, il joue à la Wii U. Accessoirement rédacteur en chef, quand il arrive à se faire entendre des autres, qui mettent le son trop fort, les farceurs.

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