Soigner un malade dans un hôpital de l’espace, ça vous tente ? C’est la promesse de Galacticare et du studio Brightrock Games. Un jeu qui se veut complexe mais fun, avec plein de maladies rigolotes, de fonctionnalités bizarres et d’argent à récolter parce que, ne l’oublions pas, la santé, ça reste du business.
Impatient de découvrir ce 2 Points Hospital dans l’espace avec des aliens et des maladies étranges, je n’ai cependant pas été autant rapide que les développeurs qui avaient déjà commencé la présentation sans moi depuis plusieurs minutes. Difficile dès lors de vous raconter correctement Galacticare puisque la démo ne s’adressait pas à moi mais à deux journalistes présents également et qu’il m’était impossible de comprendre quoi que ce soit de ce qu’il se passait à l’écran tant les dev allaient vite et tant ils avaient déjà mis en place un hôpital de l’espace extrêmement développé.
Ceci étant dit, de ce que j’ai pu voir, les mécaniques ont l’air fun, différents scénarios se présentent au joueur auxquels ce dernier doit répondre de la meilleure manière. L’un de ces scénarios évoqués met en scène un festival de musique où une étrange maladie va se répandre parmi les festivaliers. Il va falloir engager un consultant, en l’occurrence l’un des musiciens du groupe qui est accessoirement médecin, afin de trouver un remède à tout cela. Cette petite idée rend Galacticare intrigant puisqu’en une simple couche narrative, on intègre une nouvelle mécanique qui va persister tout au long du jeu. Galacticare se veut surtout fun à jouer, il est par exemple possible de poser des points de téléportation afin de permettre aux patients et médecins de se rendre d’un côté à l’autre de l’hôpital plus rapidement, il est également possible de soigner immédiatement un patient sur le point de mourir afin de le traiter par la suite, des petites bêtes circulent dans les couloirs comme indicateurs de la bonne santé de l’établissement ou non, etc. Les animations sont propres, travaillées et on sent que les développeurs aiment leur jeu (c’est assez essentiel mais parfois on ressent l’inverse).
En ce qui concerne la customisation, les développeurs ont poussé cela à l’extrême puisque tout est interchangeable et modifiable : de la taille des fenêtres aux cubes médicaux en passant par les petits robots qui circulent, etc., etc. Sept races aliens sont pour l’instant au programme accompagnées de quarante-six maladies. Mais Brightrock Games assure qu’il y en aurait davantage par la suite. J’ai hâte d’en voir plus et de le prendre en main afin de jouer au docteur intergalactique.
Sortie prévue en 2024, sur PC, Xbox One, Xbox Series X|S, PS5.
Retrouvez tous nos articles concernant l’édition 2023 de la Gamescom dans notre sommaire!
