Gamescom 2019 – Dying Light 2
La hype c’est dangereux. Ça te fait faire des choses inconsidérées. Au mieux, ça te fait porter un t-shirt à l’effigie de ton jeu potentiellement favori. Au pire, tu en arrives à précommander un jeu. Jamais, il ne faut jamais précommander. Pourtant je me suis fait avoir. J’ai été pris au piège par Dying Light 2 et je l’attends en sautillant sur place. Mais je le précommande pas. Jamais.
Gamescom 2019 – Pacer
Démarrage à Mach 0.7 avec Pacer, jeu de course futuriste dans la veine de WipEout. Issu d’un désir de produire des épreuves de vitesse anti-G « comme avant », ce titre est un doux mélange de WipEout et F-Zero, avec un soupçon d’Extreme G et de Forza Horizon. Surtout de WipEout, étant donné que l’équipe anglais de R8 Games compte quelques anciens de Psygnosis.
Gamescom 2019 – Mount & Blade II: Bannerlord
Se pointer sur le stand TaleWorlds est un peu devenu une tradition de la Gamescom. Je ne pense pas qu’il y ait un autre jeu qui ait été présent autant de fois sans avoir annoncé une date de sortie. Mais, vraisemblablement, 2020 sera la dernière année de présence de Bannerlord en tant que jeu non commercialisé. Effectivement, une version early access a été confirmée pour mars 2019. Nous avons pu jouer à plusieurs parties du mode multijoueur et avons passé une bonne demi-heure sur le solo. Dans cet article, je vais me concentrer sur la partie solo puisque nous avons accès à la beta et avons l’opportunité de plus creuser le mode en ligne avant d’émettre une opinion
Gamescom 2019 – PES 2020
« Welcome to PES Twenty Twenty ». Voilà comment débute cette présentation de PES 2020, vous l’aurez deviné. Une précision assez bienvenue ayant raté le virage de PES ces dernières années. Heureusement, le chargé de la présentation avait prévu un Powerpoint pour me remettre rapidement dans le bain.
Gamescom 2019 – Trine 4
Vous connaissez Trine ? C’est une série qui avait débuté il y a une dizaine d’années à l’époque où les jeux indés au design visuel accrocheur étaient souvent très bien considérés. Et il était de ceux-là. Il jouait la carte de l’heroic fantasy colorée au ton bon enfant et à l’humour un peu mièvre, mais attachant.