C’t’équipe !

Un site pour les amateurs de jeux vidéo qui ont… grandi (et pour les autres aussi).

Semper ludo se traduit par « toujours joueur » ou « je joue toujours ».

Les années passent, la passion reste, même si nous n’avons plus autant de temps à y consacrer. C’est nettement moins facile de jouer quand on est attendu pour une réunion ou avec un marmot sur les genoux, par exemple. Nous préférons alors prendre un peu de recul (et notre temps) pour parler de ce média, qui a grandi en même temps que nous. Nos tests/chroniques/critiques sortent donc quand nous avons l’impression d’avoir pu faire le tour d’un jeu, ce qui peut prendre parfois loooongtemps, puisque nous sommes des joueurs peu performants. Nous ne visons d’ailleurs pas la sacro-sainte objectivité. Les impressions que nous donnons reflètent clairement nos ressentis personnels et les notes que nous dressons, dont l’échelle varie à chaque article, n’ont souvent que peu de valeurs si elles sont considérées sans le texte qui les accompagne.

Nous nous adressons donc à tous ceux qui ne se sentent pas obligé de se ruer sur un jeu dès sa sortie, mais préfèrent l’étudier un peu avant, comme en dégustant un vin avant de commander la bouteille (parce que le vin c’est un truc de vieux).

Soyez les bienvenus et bonne lecture!

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Notre équipe

Chanel Kitano: Elle était gameuse et faisait du bon travail / Elle avait commis le crime le plus grave / En jouant sur des jeux vidéo qui avaient mal tourné / Les développeurs avaient tenté de l’éliminer / Mais c’est la console qu’elle aimait qui avait été touchée / Accusé à tort de meurtre, elle rôdait maintenant du côté de la Romandie / Une hors-la-loi poursuivant les jeux hors-la-loi / Une chasseuse de prime / Une Renégat…/ (harmonica tonitruant).

Cygurd: Un jour, quelqu’un l’a appelé « Cygy ». Depuis, Cygurd boit son café matinal, aromatisé d’une lichette de whisky, dans le crâne de cet imprudent. Pourtant, il a un bon fond, à la base. Il aime la nature et vit dans un paisible hameau. En faisant jouer ses relations et son talent pour la filouterie, il s’est arrogé l’accès principal au réseau électrique du village. Ce ne sont pas quelques diminutions de l’éclairage public qui allait l’empêcher d’explorer des titres qui l’ont marqué à vie, comme Planescape Torment, Duke Nukem 3D, F-Zero GX, Monster Hunter World, Zelda A Link to The Past, ni de se découvrir une passion pour les jeux de From Software. Mais soucieux de son prochain, Cygurd organise régulièrement des sessions pour les enfants de son village et transmettre sa passion. Il sait que c’est ainsi qu’il préparera une fière et robuste relève. Il nous fait parvenir ses écrits et sa bonne parole par busards voyageurs, et ça, c’est la classe.

Dinomik: Il vient d’un lointain futur afin de prévenir l’humanité d’un grand danger. Il a finalement décidé de rester afin de profiter des nombreux univers graphiques de cette magnifique époque. Il ne rentrera que lorsqu’il aura lu le dernier chapitre de One Piece. À force, il en a d’ailleurs oublié sa mission, car trop de distractions s’offrent à lui. Car en plus des jeux vidéo, il s’est ouvert au monde du hip-hop, de la bande dessinée et du cinéma scellant ainsi son destin. Et celui du monde qu’il devait sauver… Bon en vrai, Founet notre chef, avait besoin d’un autre bougre avec des ascendances du côté obscur de la barrière de rösti. On l’a ramassé dans la rue et on fait semblant de croire à son histoire parce qu’il bosse bien.

Founet: A ne pas confondre avec le village vaudois, est à peine plus jeune qu’une Famicom. Vouant un culte à George, il découvrit son amour du jeu vidéo et de la techno allemande pendant les grandes années de Lucas Arts. De ses nombreuses heures passées à cliquer lui vient son humour absurde et sa cleptomanie. Frappé d’une mystérieuse malédiction, les machines semblent se rebeller lorsqu’il les manipule ou fait mine de les regarder. Founet ne roule jamais en-dessous de 88 miles à l’heure et rêve de maîtriser la télékinésie grâce à la Force. En attendant de passer maître Jedi, il joue à la Wii U. Accessoirement rédacteur en chef, quand il arrive à se faire entendre des autres, qui mettent le son trop fort, les farceurs.

Marsouin: Un homme, une œuvre, une légende ! Ainsi se résume Marsouin, de son vrai nom Marcel Soupape. Il fit ses premiers pas vers la gloire avec la console NES, grâce à son mentor et modèle, son frère. Et tout de suite, c’est le tourbillon et l’enchaînement, notamment, de la Super NES, la N64, la Dreamcast (pas son meilleurs passage), Playstation, Xbox et enfin Xbox 360. Malgré une légère décadence dans son parcours, compensé notamment par sa liaison constante avec un PC, ce n’est rien comparé à la traversée du désert qui suivi. Ni les consoles, ni les PC ne furent d’intérêt pour lui, mais seulement les femmes, l’alcool, la drogue (Les Tuc) et le Djent. Un classique, mais l’histoire fini bien. Car soudain, c’est la rédemption ! Contacté par Rael directement, il redécouvre son potentiel via un bol d’urine tout les matins et s’achète une PS4. Depuis le succès est à nouveau au rendez-vous, comme une annonce d’apocalypse.

Milambert:

Mush: Il est indubitablement, chez Semper Ludo, l’homme de tous les superlatives. Il est le plus grand que Founet, plus vieux que Marsouin, plus beau que Zyvon plus riche que ces trois-là réuni et surtout plus en retard aussi, souvent. Parolier de l’extrême (le tube des 90ies Au pied de la lettre, c’est lui), Guitare-héros à ses heures (les plus sombres de notre histoire), Mush fonce dans la vie tel une locomotive humaine. Une enfance menée tambour battant lui a permis de réunir un set complet de capacités vidéo-ludique (tout matériel confondu) de premier-ordre mais pas que. Ses compétences et son vaste champ d’expertise dans de multiples domaines le tiennent éloigné plus que de raison de ses consoles et de son PC… Malheureusement pour nous tous. Il est donc de bon ton de chérir n’importe quel contribution de ce grand homme si vous parvenez à mettre la main dessus.

Professeur Zorglub:

Plissken: Élevé dans les hautes terres du Val-de-Travers, au sein d’une secte vénérant l’absinthe, il en fut banni à la suite de ses propos, bientôt qualifiés d’hérétiques. En effet, le visionnage du film The Big Lebowski lui fit remettre en question son éducation obscurantiste. Honni de tous, il hante désormais les supérettes vêtu d’un peignoir, sirote des russes blancs et joue sur son PC (c’est chiant comme Drucker, le bowling). Lors de ses moments de lucidité, il se plonge dans les écrits du Necronomicon afin de maudire les développeurs de DLC abusifs et de tailler le bout de gras avec les grands anciens. Virtuellement, Plissken se complaît dans les jeux moralement ambigus, absurdes et difficilement compréhensibles par le commun des mortels. Ses tests sont-ils autant maudits que son livre préféré ? Oserez-vous les lire ?

Teiki: Recrue la plus prolifique du mercato du marché suisse romand du jeu de mots à 5 syllabes, Teiki (El Matador pour les intimes) est LE nouveau ancien rédacteur de Semper Ludo. Il gravit vite les échelons et grâce à quelques coups de langue bien placé, le voilà déjà en train de remplacer Founet à l’animation de Podcast. Son talent de marchandage s’est créé tôt dans sa jeunesse où il devint un pilier de l’échange d’objet inutile dans Everquest. C’est certainement cet événement qui l’oblige inlassablement à jouer à des jeux avec du loot vert, bleu, violet et orange. Ancien champion de pétanque sans cochonnet, lors d’un accident de roulade, il dû se reconvertir à la randonnée avec les pieds. Son corps est un temple où seules les personnes qui ont enlevé leurs chaussures peuvent entrer.

Zyvon: Élevé à la dure par des parents aux penchants amish, hermétiques à la technologie, l’accès aux jeux vidéo n’a pas été facile pour Zyvon. C’est en utilisant l’argent de sa bar-mitzvah, reçu lors de sa première communion, qu’il s’acheta lui-même un ticket pour les mondes diaboliques de la perversion sous la forme d’une Megadrive. #TeamSonic. Malheureusement, il vécu la crucifixion du hérisson bleu comme une trahison et renonça à jamais aux consoles, pour rejoindre les rangs bénis et accueillant de la glorieuse « PC Master Race », en jurant qu’on ne l’y reprendrait plus. Son éducation sévère mais néanmoins rustique, lui a donné le gout des choses bien faites et faites jusqu’au bout. Zyvon est dur mais juste mais dur.