Souris sans fil et rat des champs [Logitech G602 Wireless Gaming Mouse]

Bon je dois vous entretenir à propos d’une souris… oui, ce n’est pas aussi funky que le test d’un bon titre vidéoludique qui poutre (ou carrément le poutrage d’un jeu dans un test), mais que voulez-vous, c’est notre lot à tous de faire parfois des choses un peu moins sexy.

J’ai donc eu le privilège d’essayer depuis des mois la Logitech G602 Wireless Gaming Mouse, une souris de PGM beaucoup trop « bien » (et cher) pour moi.

J'te mange le mulot! Violoneux!

J’te mange le mulot! Violoneux!

On tient donc une souris Gaming et Wireless. A mon humble avis, c’est un peu comme l’eau et le feu, c’est difficile à mettre ensemble dans une même boite. En effet, la précision requise pour le jeu à haut niveau (type FPSs) est très demandeuse en termes de consommation éléctrique. Et le sans fil est comme son nom l’indique, sans fil… donc sur batterie. Au final, ce mulot s’en sort assez bien en se positionnant comme un batard, offrant un mode permettant une « haute » précision plutôt correcte (2500dpi) pour du wireless et un autre plus économique.

Quel sont ses caractéristiques ? Elle possède 11 boutons paramétrables, dont six sur le côté qui, s’ils fonctionnent correctement, sont pour la plupart, et à mon goût, un peu trop accolés. Un vrai PGM devrait rapidement s’en accoutumer mais un handicapé comme moi à encore tendance à régulièrement appuyer sur le mauvais de deux boutons très rapprochés. Au final, lors de mes tests, j’ai décidé d’attribuer la même action à deux mêmes touches très proches pour ne plus avoir ce souci. Problème réglé « au gaffa » on dira.

L'objet de mes angoisses...

L’objet de mes angoisses…

Concernant la consommation, la souris peut donc fonctionner en deux modes : endurance ou PGM. En gros, le premier sacrifie de la précision sur l’autel de la durée de vie des piles, alors que le second vise la performance à l’état pur.

Et là, c'est le drame :-(

Et là, c’est le drame 🙁

Là encore, je ne suis pas assez bon pour remarquer une quelconque différence, la souris reste donc chez moi continuellement en mode « ecolo ».

D’ailleurs, à ce propos, on arrive à un point qui reste pour moi un très gros bémol. Au jour d’aujourd’hui, comment peut-on encore vendre des appareils électroniques à piles ? Sérieusement, présenter une souris de cette qualité à ce prix et ne pas fournir de batterie et de moyen de recharger ce mulot et pour moi un « killing criteria ». C’est dommage, car sinon c’est plutôt un bel outil.

Author: Zyvon

Élevé à la dure par des parents aux penchants amish, hermétiques à la technologie, l’accès aux jeux vidéo n’a pas été facile pour Zyvon. C’est en utilisant l’argent de sa bar-mitzvah, reçu lors de sa première communion, qu’il s’acheta lui-même un ticket pour les mondes diaboliques de la perversion sous la forme d’une Megadrive. #TeamSonic. Malheureusement, il vécu la crucifixion du hérisson bleu comme une trahison et renonça à jamais aux consoles, pour rejoindre les rangs bénis et accueillant de la glorieuse “PC Master Race”, en jurant qu’on ne l’y reprendrait plus. Son éducation sévère mais néanmoins rustique, lui a donné le gout des choses bien faites et faites jusqu’au bout. Zyvon est dur mais juste mais dur.

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