Worship nous propose d’être à la tête d’un culte pour, comme chaque bon gourou, sacrifier ses adorateurs à des dieux obscurs. Un rogue like qui mélange Pikmin et Cult of the Lamb ? C’est par ici.
REWIND (retour à l’article précédent).
Ce qui marque d’emblée lors de la démonstration faite par les dévs de Chasing Rats, c’est la direction artistique et le game design, à la fois très inspirés, et quand même très inspirés, aussi, par Cult of the Lamb. Même si notre présentateur rigole de cette comparaison qui est souvent pointée du doigt, on la comprend aisément. C’est gros comme le mouton sur l’autel sacrificiel. Néanmoins, le gameplay est présenté comme étant très différent en se calant plutôt sur un concept à la Pikmin (me dit-on, je n’y ai jamais joué, bouhhhh) et sur la possibilité de jouer avec des amis.
De façon tout à fait amusante, on peut utiliser ses ouailles comme réserve de sang afin de dessiner diverses formes géométriques sanguinolentes sur le sol pour invoquer des pouvoirs occultes. Une activité parfaite le dimanche en famille quoi. Le gameplay semble donc tourner principalement sur le recrutement de cultistes et leur sacrifice pour jeter des sorts. C’est joli, très bien animé et franchement marrant à regarder.
Néanmoins, je vais être honnête je n’ai pas été méga convaincu par ce que j’ai vu du gameplay de Worship. Passer son temps à tracer des formes pour combattre des ennemis ou construire des bâtisses m’a paru répétitif rien que sur le temps très bref de la démonstration. J’ai de la peine à m’imaginer passer des heures à tracer les mêmes formes, quand bien même l’idée est très sympa (sauf pour les cultistes). Bref, à voir et à tester si une démo est un jour dispo. L’idée est bonne, mais je reste sur la retenue quant à l’intérêt du jeu lui-même. Sortie prévue l’année prochaine, sur PC et consoles.
On passe ensuite au jeu « surprise » de Studio Imugi : Bonaparte.
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