Gamescom 2024: Towerborne (Stoic)

Hardis, compagnons ! Sur ce gros monstre en cœur, tapons ! Je vous relève si vous défaillez, en ligne, ou sur un canapé. Gagnons de l’XP, et célébrons la gloire gagnée au fil de l’épée.

Hey mais Towerborne, je t’avais déjà rencontré l’année dernière ! Je m’en souvenais plus mais ça m’est revenu telle une chanson d’Etienne Daho lorsque je suis retrouvé les yeux dans les pixels. Cette fois, je ne me fais pas avoir, j’ai bien compris qu’on joue en coop avec les autres personnages. Ce point a bien été évoqué en long et en large par Arnold Jorgensen du studio Stoic. Notre session à 4 était donc tournée vers la collaboration.

Les trois autres joueurs et joueuses incarnent des personnages auxquels sont liées des classes spécifiques. On peut en modifier les apparences, mais pas les compétences. Autrement dit, c’est l’arme portée qui définit le rôle dans le groupe. Pour le moment, quatre sont disponibles, mais Stoic estime pouvoir en rajouter bien d’autres par la suite.

 

 

Towerborne est un joyeux beat’em up d’heroic fantasy, coloré, dynamique et loufoque. J’en veux pour preuve la taupe géante monstrueuse qui nous a servi de boss. Je suppose que l’équipe du studio avait besoin de rire un peu après avoir travaillé sur les bien plus sérieux Banner Saga.

Autant le dire tout de suite, l’action à l’écran est un peu confuse lorsque les effets des armes fusent dans tous les sens. Mais l’ambiance est bonne ! Towerborne est pensé pour être exploré à plusieurs, en local ou en ligne, jusque dans la manière dont on dévoile la carte globale. Chaque membre du groupe peut opter pour une zone plutôt qu’une autre et se regrouper lorsque certains ennemis sont trop puissants. J’ai bien aimé l’esprit qui s’est dégagé de cette partie et je peux voir le potentiel à exploiter en groupe.

Une sortie en early access sur Steam est prévue pour le 10 septembre, avant une sortie en free-to-play (PC et Xbox Series X|S).

Retrouvez l’ensemble de nos articles concernant la Gamescom ici.

Author: Founet

A ne pas confondre avec le village vaudois, est à peine plus jeune qu’une Famicom. Vouant un culte à George, il découvrit son amour du jeu vidéo et de la techno allemande pendant les grandes années de Lucas Arts. De ses nombreuses heures passées à cliquer lui vient son humour absurde et sa cleptomanie. Frappé d’une mystérieuse malédiction, les machines semblent se rebeller lorsqu’il les manipule ou fait mine de les regarder. Founet ne roule jamais en-dessous de 88 miles à l’heure et rêve de maîtriser la télékinésie grâce à la Force. En attendant de passer maître Jedi, il joue à la Wii U. Accessoirement rédacteur en chef, quand il arrive à se faire entendre des autres, qui mettent le son trop fort, les farceurs.

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