Gamescom 2018 – Raw Fury-eusement bien
Il y a des choses dans la vie que nous détestons. Pour certains ce sont les épinards et les gogo danceuses, moi ce sont les Pays-Bas et les jeux narratifs. C’est comme cela. J’adore les épinards et je ne juge pas ceux qui les laissent dans leurs assiettes à la fin du repas. Et pourtant, parfois, nous découvrons le bonheur dans ce que nous pensons ne pas aimer.
Gamescom 2018 – Devil May Cry 5 et Forza Horizon 4
Notre début de Gamescom s’est fait sous les couleurs de Microsoft qui a su s’entourer des plus gros AAA pour étoffer leur propre line-up un peu famélique. La décision de quel jeu essayer a dû se faire vite puisque d’innombrables journalistes se déversaient encore dans le hall tandis que les files d’attente se rallongeaient à vue d’oeil. Je me suis finalement décidé sur une production interne à Microsoft, Forza Horizon 4, et Devil May Cry 5 qui m’intriguait particulièrement.
Gamescom 2018 – Du RPG en pagaille chez Koch Media
Débuter une série de rendez-vous de jeux de rôle est toujours un exercice particulier. L’impression d’être soi-même pris dans une partie se fait tout de suite ressentir. Comme si un maître du jeu sadique lançait les dés du mauvais côté de la table. Ce que je peux vous dire, c’est que sur le moment, il faut savoir y voir un coup du sort plutôt qu’une orchestration divine. Retour sur The Bard’s Tale IV et Pathfinder, deux salles, une ambiance.
Gamescom 2018 – Conqueror’s Blade
On dirait bien que je ne suis pas le seul à avoir joué à Mount & Blade et m’être dit que l’idée était fantastique et méritait d’être un peu plus accessible pour être un grand succès. C’est clairement, même si pas officiellement, ce que se sont dits les Chinois de chez Booming Games.
Gamescom 2018 – Ori and the Will of the Whisp
En 2015, Ori and the Blind Forest avait su révéler en moi une passion inexplorée pour les metroidvania, l’art design et les musiques prenantes, le tout enrobé d’un gameplay sucré et chatoyant. C’était beau, c’était frais et ça sentait bon le sable chaud. Alors quand le rendez-vous chez Microsoft pour voir sa suite se rapprochait, j’avais de quoi frétiller.