Gamescom 2014 – Evolve [PC, PS4, XO]

Quand je regarde mon carnet de note pour Evolve, je ne vois qu’une seule chose écrite, entourée une dizaine de fois: 10.02.2015. Dis maman, c’est encore combien de dodo jusqu’en février?

ÇA Y EST, ON A PU Y JOUER!!! Raaah mon objectif de la Gamescom est accompli. Merci à la prochaine! Ah il faut que je vous en parle encore? Bon, alors c’est l’histoire de quatre chasseurs, chacun ayant ses compétences propres, qui doivent collaborer pour abattre un monstre géant, avant que celui-ci n’ait eu le temps d’évoluer en Super Saiyan-zilla. Nos amis de la nature pourront ainsi accrocher sa tête au dessus de leur cheminée du futur. Nous avons donc quatre joueurs, en l’occurrence Gary, Jorris, Yoni de Fellowsheep et Mush contre moi, le gros monstre. On m’explique que je dois bouffer un maximum de bestioles et me cacher quand je suis repus pour me transformer. A chaque nouvelle mutation, je deviens plus fort et j’hérite de nouveaux pouvoir, comme lancer des cailloux, cracher du feu, évolution plus rapide, etc. Pendant ce temps, les chasseurs doivent me repérer et tenter de m’abattre. Ils ont tout un arsenal à disposition, des moyens de repérer mes traces, des drones, des boucliers qui m’empêchent de bouger et même une sorte de chien qui peut me traquer. Attention toutefois à ne pas confondre celui-ci avec le monstre à abattre, n’est-ce pas Yoni?

Evolve a gagné le prix du meilleur jeu de la Gamescom. Généralement je ne me soucies que peu de ce genre de récompense, mais cette fois je peux comprendre. Notre partie était épique, à telle point que nous ne sommes toujours pas d’accord pour savoir si c’est le temps qui a mis fin à notre affrontement ou le peu de vie qui nous restait mutuellement. Ce gameplay asymétrique – FPS pour les chasseurs, TPS pour la bête – promet beaucoup de possibilités et une immense dose de fun. Pas besoin d’en dire plus, j’ai adoré!!

https://www.youtube.com/watch?v=LJkdS_jdcP8#t=38

Author: Founet

A ne pas confondre avec le village vaudois, est à peine plus jeune qu’une Famicom. Vouant un culte à George, il découvrit son amour du jeu vidéo et de la techno allemande pendant les grandes années de Lucas Arts. De ses nombreuses heures passées à cliquer lui vient son humour absurde et sa cleptomanie. Frappé d’une mystérieuse malédiction, les machines semblent se rebeller lorsqu’il les manipule ou fait mine de les regarder. Founet ne roule jamais en-dessous de 88 miles à l’heure et rêve de maîtriser la télékinésie grâce à la Force. En attendant de passer maître Jedi, il joue à la Wii U. Accessoirement rédacteur en chef, quand il arrive à se faire entendre des autres, qui mettent le son trop fort, les farceurs.

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