En VR et contre tout!

La VR en 2018, c’est un peu comme les débuts de la 3D dans les années 90. Il y a du bon et du moins bon, tant point de vue technique que gameplay. On a testé quelques jeux sur le PSVR et on fait le tri. Nous tenons à rappeler à notre lectorat adoré que notre système de notation est tout à fait impartial, en plus d’être limpide. Sauf précision, tout ces jeux ont été expérimentés assis avec des manettes move en main. The Inpatient, Monster of the Deep et Tumble VR sont des exclusivités PSVR, tous les autres titres abordés dans ce dossier sont également jouables sur PC.

Monster of the Deep: Final Fantasy XV

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On sait vendre chez Square Enix.

FFXV possède une place spéciale dans ma collection. Il est posé sur la « pile de la honte » des jeux que je n’ai jamais finis, voire à peine commencés (je sais que vous en avez une, pas la peine de nier). J’ai du y jouer 2h30 au total, mais un jour peut-être (qui à dit portage PC?). J’ai pourtant fini FFVII plusieurs fois et j’adore les JRPG de manière générale. J’approche donc Monsters of the Deep avec tout l’entrain qu’il se doit, même si je ne sais pas trop à quoi m’attendre.

Probablement un jeu où vous serez propulsé dans les abysses et devrez combattre des Kaijū tentaculaires (parce que Japon), non ? Ha ben non, c’est un jeu de pêche. Pas que, mais fondamentalement c’est un jeu de pêche en réalité virtuelle. À mon grand étonnement, le jeu propose une histoire (avec de véritables cinématiques, comme si vous regardiez un écran au lieu d’être dedans en VR).

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Tout doux Brigitte!

Des poissons démoniaques (ça s’invente pas) infestent la région et vous devez les capturer pour ramener la tranquillité aux différents coins de pêche. Ces poissons sortent une fois que vous avez attrapé une partie de la faune locale. Comme en vrai, lancez votre ligne, agitez l’hameçon et remontez une fois qu’il y a prise. Après quatre ou cinq poissons, le décor se transforme pour ressembler à une nouvelle de Lovecraft et un Leviathan débarque qu’il faudra affaiblir avant d’attraper. C’est là que votre canne à pêche se retrouve troquée contre une arbalète. Mettez-lui pas mal de flèches explosives dans le fion et il sera assez faible pour se faire capturer. Je dois avouer que les monstres sont impressionnants et je me suis un peu fait dessus face à l’immensité de certaines bêtes… !
FFXV:MOD est une bonne surprise étonnamment engageante, principalement à cause de son histoire. Si vous détestez la pêche, ne passez pas votre tour et donnez-lui une chance quand même. Je n’y connais rien et je me suis bien marré.

Chocobo doré / 10

Skyrim VR

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Le voile noir c’est pas parce que je m’étouffe, c’est pour éviter la galette sur le tapis en faisant du cheval.

Que dire de plus qui n’ait pas déjà été dit ? La vache à lait de Bethesda revient en VR, pour le meilleur et pour le pire. Pour la 7 ou 8ème fois, arpentez la province de Bordeciel. Mais cette fois, comme si vous y étiez ! Chouette alors s’exclameront les deux personnes pouvant s’offrir un PSVR et n’ayant jamais testé Skyrim (une sombre affaire d’espionnage et de prisonniers politiques). Pour être honnête, donner physiquement des coups d’épée est bien plus satisfaisant que derrière une manette, pareil pour l’arc ou les sorts. Les contrôles avec les move sont plutôt ergonomiques : grâce à l’utilisation du gyroscope de la manette pour défiler dans les menus, la gestion d’inventaire devient plus agréable que dans sa version « PS mais pas VR ». On se téléporte pour se déplacer et certains boutons permettent de tourner instantanément de 45°. Ça demande un peu de pratique, mais tout devient très ergonomique avec l’habitude. Malheureusement, la résolution est bien trop basse et c’est vraiment là tout le problème. Le casque de Playstation ne possède déjà pas une excellente résolution de base, mais celle de Skyrim est encore moins élevée. Ça donne mal à la tête, littéralement.

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Non, j’ai pas deux balles laissez-moi à la fin!

Difficile donc de jouer plus d’une demie-heure dans ces conditions, malgré qu’on tienne ici un des rares jeux VR proposant une expérience de jeu dépassant les 3h. Les fans absolus ne seront pas déçus de l’expérience à la vue subjective qui permet quand même de découvrir le jeu sous un autre angle, bien plus immersif. Les donjons deviennent effectivement plus inquiétants et les monstres plus impressionnants. Mais cette version a le goût amer de l’avarice après les 60 boules déboursés pour un « Skyrim Remastered mais pas vraiment ». D’ailleurs, Bethesda a pensé à ses fans et n’a pas dérogé à la règle en corrigeant à peu près zéro bug.

Laissez-le mourir / 10.

Sparc

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La seule photo de moi que vous verrez.

Le prochain sur la liste est un jeu de sport par les créateurs de EVE Online. Le principe est on ne peut plus simple et repose fondamentalement sur les bases du tennis. Deux joueurs se renvoient une sphère à laquelle des effets peuvent être appliqués. Ici c’est en VR, avec deux adversaires s’affrontant dans un large couloir. La zone derrière le joueur sert de goal. Lorsque vous avez votre balle en main, un bouclier repose sur votre avant-bras. Ça permet un léger aspect stratégique lorsque vous le couplez aux ricochets possibles et aux esquives. Le jeu est évidemment principalement multijoueur, cependant quelques challenges vous sont proposés en plus du tutoriel, pour vous améliorer.

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La madame à droite c’est un joueur dans le lobby qui nous observe.

Le facteur fun est bien présent, mais attention tout de même à ne pas éborgner mamie en réalisant sa meilleure imitation de Federer. Car oui, il va vous falloir de la place, de l’énergie (c’est physique) et la balle ne réagit pas toujours comme on l’aimerait. Il est très difficile de viser / lancer en VR par manque de précision et vous aurez probablement l’impression d’être handicapés. Comme d’habitude, c’est peut-être juste moi qui suis incapable, mais je partage mon expérience. Sparc manque de modes différents, voire plus généralement de contenu. Néanmoins, ce qui est présent vaut la peine. Plus à considérer comme un party game qu’un réel jeu compétitif.

Rodjeur Party / 10.

Tumble VR

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Réfléchis Billy, tu peux le faire!

Certains se souviendront peut-être de Tumble sur PS3, qui utilisait déjà les manettes move. Tumble est un jeu de casse-têtes et autres défis basés sur la physique, et voici sa version VR. Le jeu propose une approche Portal-like où vous êtes le cobaye. Une touche d’humour bienvenue, mais sans grande importance (pas d’histoire en vue). Construisez la tour la plus haute avec les pièces fournies, déplacez des miroirs pour faire passer un laser du point A au point B, ou encore construisez des ponts et explosez des constructions. Il existe une floppée de modes de jeu différents, répartis sur une centaine de niveaux, sans compter les différents modificateurs que le jeu vous balance : une barre qui balaie le support où vous essayez de construire, des ventilateurs qui font tout tomber, une plate-forme pas tout à fait droite…

Il faudra parfois se creuser la tête, surtout une fois les premières zones traversées. Et c’est là que le jeu brille vraiment, lorsque vous passez plus de temps à réfléchir à quel sera votre prochain mouvement qu’à le faire. J’ai juste un peu l’impression d’avoir réussi certains puzzles en trichant avec le moteur physique.

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La solution? Construire derrière les ventilateurs. Comment ça, c’était pas ça qu’on nous demande?

Ce moteur justement, demande un peu d’habitude pour être vraiment maîtrisé, mais il est correct. Les pièces sont faites de différents matériaux et ne pèsent pas toutes le même poids ou n’adhèrent pas de la même manière. Toutefois, attention à ce que votre manette soit en permanence reconnue et ne se mette pas à glitcher alors que vous tenez une pièce, sinon vous risquez de tout renverser. Il faudra utiliser les commandes à votre disposition pour bouger la plate-forme afin d’éviter toute désynchronisation avec la caméra PS, problème récurrent du PSVR.

Notons également la présence d’un multijoueur local. En gros, le 2ème joueur vous servira de handicap en prenant un malin plaisir à détruire tout ce que vous construisez.

Reposant sur un concept pourtant très simple, Tumble VR est une des meilleures expériences de la VR. Son exécution n’est pas exempte de défauts mais vu son prix (10 boules), vous auriez tort de vous en priver !

Jenga / 10

DOOM VR

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J’ai mon extincteur, les enfers n’ont qu’à bien se tenir!

Deuxième jeu Bethesda de la liste. Mon coeur s’emballe et j’ai peur de glitcher en-dehors de la map, enfermé à tout jamais dans une horreur VR que seul Bethesda pouvait créer. Arrivé sur le menu avec sa musique qui donne envie de tabasser des gens à tour de pelle, je me souviens que comme beaucoup de monde j’avais donné à Doom une excellente note pour son retour aux sources, sa nervosité, et la brillance de son exécution. Plus serein, je lance une nouvelle partie. Une chose est sûre, le marine que vous incarnez n’utilise pas des balles doom-doom (oui j’ai osé) mais aime la manière létale, voire brutale.

On tient avec DoomVFR quelque chose d’autre que Skyrim. Déjà c’est plus beau par défaut, et la basse résolution est du coup plus tolérable. Sans vraiment changer le level-design, le gameplay a été travaillé pour s’adapter à la VR. Cependant, il vous faudra probablement jouer avec une difficulté bien plus basse qu’avec un combo clavier/souris ou même une Dualshock. Comme dans Skyrim, vous possédez un téléporteur magique qui vous permet de vous déplacer de quelques mètres en visant un point de votre main gauche. Les boutons de vos PSmoves sont exploités pour pouvoir straffer et se retourner d’un coup, mais attention au gerbotron. Donc gameplay adapté certes, mais pas forcément facile d’utilisation pour autant. Vous serez souvent immobile alors que votre vision se remplit de démons et de projectiles à éviter. Là où Skyrim est peu handicapé, Doom prend un sacré coup à sa jouabilité malgré ses efforts. Ce portage sent bon la frustration pour les simples mortels à dix doigts que nous sommes. À faire plutôt dans sa version pas « Virtual Fuckin’ Reality » de pouilleux pour les moins habiles d’entre nous.

Brütal / 10

Rick & Morty : Virtual Rick-ality

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Bon les deux cons, qu’est-ce qu’il vous faut?

Pas sûr d’avoir besoin de présenter la série dont le jeu est tiré. Si vous ne connaissez pas, Google est votre ami. Vous devrez pousser pas mal de meubles dans votre salon pour libérer toute la place autour de vous, car le jeu requiert de jouer debout avec des PSmoves. Vous passerez beaucoup de temps à vous baisser pour ramasser des trucs ou à vous étirer pour en atteindre d’autres, soyez prévenus.

RMVR, son petit nom, se rapproche beaucoup d’un Job Simulator dans son exécution. Normal, c’est les mêmes développeurs. Alors que vous commencez dans le salon de la famille, chaque « niveau » est représenté par un disque à insérer dans un lecteur. Vous passerez moult temps dans le garage et visiterez quelques autres lieux, tout en croisant les personnages principaux de la série. Votre position est statique dans chaque tableau, mais vous pouvez lancer un « miseeks » qui exécutera exactement les mêmes actions que vous, (presque) comme si vous regardiez un miroir. Utilisez-le pour ramasser des objets hors de portée.

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+1 point pour le menu interactif!

Cette mécanique est sous-développée et n’arrange pas vraiment le problème du mouvement. Vous pouvez vous téléporter à plusieurs endroits de la pièce, mais le jeu ne vous propose pas de vous tourner et vous êtes toujours face au même mur. C’est très frustrant, et bien que les interactions avec l’environnement et les objets soient plaisantes, le mouvement est un calvaire.

Vous jouez un clone de Morty et servez plus ou moins d’esclave à Rick : réparer son vaisseau, faire sa lessive, ou encore défendre la voiture. Le tout à base de mini-jeux ma foi fort sympathiques.

Les environnements sont extrêmement fidèles bien qu’un peu réarrangés (oui j’ai vérifié). Pareil pour les personnages, les dialogues, les idées, et surtout l’humour grinçant… mais il n’y a pas assez à se mettre sous la dent. Je suis peut-être trop exigeant, mais ça manque cruellement de contenu. Comptez 2h-2h30 pour tout faire. On ne va pas se mentir, nous avons affaire à du bon gros fan-service. On peut dire que je suis fan de la série, ça me peine d’autant plus de l’admettre. C’est bourré de références, rigolo, mais bien trop court et pas assez diversifié.

Jerry / 10

Batman: Arkham VR

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Suite à une mauvaise manip j’ai effacé quasiment tous les screenshots…

La série des Batman: Arkham fait partie de ces jeux qui auront révolutionné l’industrie du jeu vidéo en inspirant tous les jeux qui ont suivi (source : faites-moi confiance). Ça doit être pour ça que je les référence tout le temps et énerve tout le monde. Incarner le justicier geignard n’a jamais été aussi excellent que dans les jeux de Rocksteady, les développeurs. Coup de bol, c’est aussi eux qui s’attaquent à cette production VR.

Sorti au lancement du casque pour la PS, ce Batman fait quelques faux-pas comme vous déplacer sans votre accord (l’oreille interne désapprouve). Mais la plupart du jeu se déroule de manière statique. Vous pouvez également visiter plusieurs endroits d’un même tableau, mais ici, par contre, vous serez en permanence orientés correctement.

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Heureusement il reste la Batmobile (qui ne sert qu’à décorer)

Les interactions sont assez variées pour qu’on ne s’ennuie pas: utilisation du « batordinateur », fouille, reconstitution de scène de crime, j’en passe et des meilleurs. L’effet Batman fonctionne bien et on se prend vite au jeu d’incarner l’homme chauve-souris que rien n’arrête. À noter que le jeu propose de choisir l’option « jouer assis » même si la position debout est recommandée.

Batman VR propose une histoire digne des comics. Paul Dini (scénariste de la série animée de 92, de Arkham Asylum et de Arkham City) serait fier. Cette narration permet au jeu de ne quasiment jamais revisiter les mêmes endroits (en passant les décors sont sublimes) ou répéter les mêmes tâches, même si comme dans tous les jeux VR, vous passez parfois plus de temps à écouter qu’à interagir. Cependant, même reproche qu’à la plupart des jeux de cette liste : c’est bien trop court (1h max). Et c’est bien là son seul gros défaut. Recommandé donc aux fans, mais pas uniquement.

Alfred / 10

Megaton Rainfall

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Toute ressemblance avec « 2001: l’odyssée de l’espace » serait fortuite.

Lauréat 2017 du prix « titre qui claque le plus même si c’est un peu kitsch », Megaton Rainfall vous propose de vous mettre dans la peau d’un super-héros. Enfin, pas exactement. Plutôt un être supérieur venu de très loin, mais très franchement c’est comme incarner Superman. Malgré un déplacement fluide (donc à l’opposé des téléportations des jeux Bethesda), le facteur gerbe n’est pas trop présent. On passe de l’atmosphère de la planète à l’espace sans difficulté et sans chargement. Rien ne vous empêche d’ailleurs d’explorer l’univers. Le moteur est assez foufou et vous pouvez passer d’une galaxie à l’autre si bon vous chante.

Entre nous, c’est quand même un peu vide. Passées les premières minutes d’émerveillement face à la liberté du déplacement, le gameplay laisse place à un gros vide. Défendre une ville à coups de lasers c’est fun je dis pas, mais on se lasse très très vite, vu que ça ne se diversifie pas par la suite. Le jeu vous balance des ennemis différents et vous débloquez des pouvoirs amenant à plus de destruction pour apporter un peu de variété, mais ça ne suffit pas.

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Le soleil brille sur Townsville!

Certains seront peut-être scotchés par ce que le jeu vous permet de faire, personnellement j’ai besoin de plus de matière. Sans objectif avec un peu de substance, je me lasse très vite, mais les amateurs de jeux « sandbox » seront aux anges. On peut aussi y jouer en version non-VR, pour cela il suffit de laisser le casque éteint. D’ailleurs, pas besoin de PSmoves, étant donné que le jeu ne se joue qu’à la manette, VR ou pas. Mention spéciale pour la bande-son, toute droit sortie de « Dance Hits 96 » qui fonctionne particulièrement bien! Je suis aussi surpris que vous, mais je suis sérieux.

Bien essayé / 10.

The Inpatient

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Heureusement on a pas encore les odeurs…!

Développé par le même studio à l’origine de l’excellent Until Dawn (auquel ce jeu sert de prequel), The Impatient vous propose d’expérimenter les joies des hôpitaux psychiatriques des années cinquante dans une atmosphère horrifique.

Ne vous attendez pas à l’intensité d’un Until Dawn. On passe son temps à observer et votre lampe torche sera plus ou moins la seule interaction possible avec le monde qui vous entoure (hormis les deux portes et trois bouts de papier). Il y a aussi quelques dialogues qui vous proposent différents embranchements narratifs, mais sans grande incidence. Un quart du jeu se passe dans une cellule, le reste à traverser des couloirs. Tout est lent et on accroche difficilement. On marche lentement, les dialogues sont cryptiques et l’histoire n’avance pas, les animations des PNJ et leurs répliques mettent parfois du temps à se lancer comme si le jeu était en pause… Le jeu est fini en à peine deux heures, mais laisse l’impression de s’en être ennuyé bien dix de plus.

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Oh un couloir (le 36ème)!

L’ambiance est pourtant géniale, oppressante, quoique littéralement trop sombre. Le jeu est trop contemplatif et n’implique pas assez le joueur pour vraiment réussir à l’apeurer. C’est dommage parce que les mythes et légendes adressés par le ce jeu et sa suite est intéressante et Until Dawn est un excellent jeu qui foutait bien la pression. Restez quand même après le générique de fin pour au moins avoir quelques réponses. Plus un court-métrage qu’un véritable jeu, même s’il porte très bien son nom.

On s’ennuie / 10

Sans oublier notre test du très bon

Eagle Flight (vas-y clique)

Pour conclure je dirais que pas mal de jeux font du pur fan-service, que ce soit un portage ou que ce soit tiré d’un autre medium, voire d’une suite. Certains le font très bien, d’autres avec plus de difficultés. On remarque cependant que les jeux qui prennent le risque de l’originalité s’en sortent souvent mieux. Le PSVR propose une tonne d’expériences différentes et la frontière entre jeu et film devient parfois floue. Je suis partisan de l’interaction plutôt que de la passivité. Si pour vous l’immersion passe avant le gameplay, sachez que je n’ai pas jugé les jeux de cette manière et vous y trouverez peut-être plus votre compte.

Author: Marsouin

Un homme, une œuvre, une légende ! Ainsi se résume Marsouin, de son vrai nom Marcel Soupape. Il fit ses premiers pas vers la gloire avec la console NES, grâce à son mentor et modèle, son frère. Et tout de suite, c’est le tourbillon et l’enchaînement, notamment, de la Super NES, la N64, la Dreamcast (pas son meilleurs passage), Playstation, Xbox et enfin Xbox 360. Malgré une légère décadence dans son parcours, compensé notamment par sa liaison constante avec un PC, ce n’est rien comparé à la traversée du désert qui suivi. Ni les consoles, ni les PC ne furent d’intérêt pour lui, mais seulement les femmes, l’alcool, la drogue (Les Tuc) et le Djent. Un classique, mais l’histoire finit bien. Car soudain, c’est la rédemption! Contacté par Rael directement, il redécouvre son potentiel via un bol d’urine tous les matins et s’achète une PS4. Depuis le succès est à nouveau au rendez-vous, comme une annonce d’apocalypse.

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