Gamescom 2014 – Dragon Age: Inquisition

Une nouvelle vidéo orientée sur l’artisanat est sortie et en la voyant je me suis dit « Heeeeyyyy mais j’y joué à ce jeu ! Heeeeyyyy mais j’ai jamais fait d’article ! ». Honte sur moi et ma famille, voici donc ces quelques lignes.

Le temps est relatif et la GamesCom nous le rappel constamment. L’attente pour jouer à Dragon Age: Inquisition chez EA, ne correspond pas du tout à la durée ressentie lorsque l’on y joue. C’est souvent un signe prometteur et cela semble être le cas pour ce Dragon Age.

La démo proposée me permettait de me balader avec mes amis, dans des marais infestés de morts-vivants. Cette expérience se révèle très belle et bien sympa. Le jeu m’a semblé dans la lignée du premier plutôt que dans celle du deuxième, avec un aspect groupe prépondérant. La synergie de l’escouade est démontrée au travers des mêmes mécanismes que dans Baldur’s Gate, ou plus récemment Mass Effect, avec des personnages qui vivent l’aventure ensemble et interagissent entre eux, entraînant engueulade, histoire d’amour, etc. On peut d’ailleurs passer d’un perso à l’autre pendant l’aventure afin de goûter à d’autres pouvoirs.
Un bémol et demi tout de même. Le demi pour commencer, ce n’est pas de l’open world. Pas bien grave, tant que l’ont ne se sent pas emprisonné par l’environnement, ce qui ne m’a pas semblé être le cas. Les zones de jeu, même si elles sont fermées, sont assez grandes.

C’est bien beau, mais attention à l’effet Watch Dog !

Le plus gros bémol (potentiel) se situe au niveau du gameplay, plus proche du hack’n slash que du jeu tactique à la Baldur’s Gate. Mettre pause et passer en vue stratégique afin de choisir exactement quel sort on veut que notre mage balance, au même moment où notre tank va faire une charge de bouclier, ne m’a pas paru particulièrement utile. Prendre le contrôle d’un des perso du groupe et cliquer à la Diablo sur l’ennemi, tout en laissant les autres se débrouiller, est largement suffisant. C’est précisément cet aspect du gameplay qui m’avait beaucoup plu dans le premier épisode ou dans des jeux comme Baldur’s Gate (je suis sénile et je répète mes références ancestrales si j’ai envie!). Peut être que le niveau de difficulté, une fois augmenté, permettra de pallier ce problème.

En bref, si le scénario est bon et l’esprit du premier opus se retrouve bel et bien dans Dragon Age : Inquisition, je n’ai aucun doute que le jeu se hissera allègrement en haut dans votre shopping liste le 20 novembre.

Author: Mush

Il est indubitablement, chez Semper Ludo, l’homme de tous les superlatives. Il est le plus grand que Founet, plus vieux que Marsouin, plus beau que Zyvon, plus riche que ces trois-là réunis et surtout plus en retard aussi, souvent. Parolier de l’extrême (le tube des 90ies "Au pied de la lettre", c’est lui), Guitare-héros à ses heures (les plus sombres de notre histoire), Mush fonce dans la vie tel une locomotive humaine. Une enfance menée tambour battant lui a permis de réunir un set complet de capacités vidéo-ludique (tout matériel confondu) de premier-ordre, mais pas que. Ses compétences et son vaste champ d’expertise dans de multiples domaines le tiennent éloigné plus que de raison de ses consoles et de son PC… Malheureusement pour nous tous. Il est donc de bon ton de chérir n’importe quel contribution de ce grand homme si vous parvenez à mettre la main dessus.

Share This Post On

Submit a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *